La Crypte du Sorcier

Toujours délicat de juger un livre de Livingstone. Va-t-on encore tomber sur un one-true-path, à savoir que si tu n’as pas eu la Couille de Licorne au paragraphe 257 (je pensais les licornes femelles, mais bon), la bave de Boomer au 18 et les bijoux de ma tante au 147, il est virtuellement impossible de finir le livre ?  Spoiler alerte, oui. Encore une fois, ce bon vieil Ian retombe dans ses travers, qui m’ont tant fait pester dans les années où j’avais des bouton sur la gueule. Cependant, notre lord sait parfois faire preuve de souplesse comme nous le verrons une autre fois dans les Géants de Fer (plus tard je vous dis !).

Pour l’histoire, une vieux moisi qui parait avoir des prédispositions pour cet art primesautier et guilleret qu’on appelle la nécromancie semble être revenu à la vie, et il compte bien foutre du mort-vivant dans chaque foyer du pays. Pas de zone blanche pour les zombis !

Pour occire ce fumier, le Héros (vous) doit en premier lieu trouver une épée spéciale puis vous devez vous rendre dans l’antre du Sorcier Razaak puis… voilà.

Le scénario fait parti des moins bon du genre, la quête est banale au possible et honnêtement, on s’ennuie. Et comme vu plus haut, il faut obligatoirement mettre la main sur pas mal d’items précis, autant vous dire que le terminer sans tricher est un pari sur les nerfs du lecteur.

En bref, un livre dispensable…..